Je butte sur l'impossible, je rage, je m'obstine, je sèche.
Complexité qui ne veut donner un fil à tirer pour la résoudre.
Et puis d'un coup, il suffit d'oublier l'impossible pour que quelque chose, soudain, trouve sa place. Se dénoue, se raconte, se partage, s'ouvre.
Ce sont des instants où quel que soit le sujet je ressens une grande joie, celle du vent maritime qui promène les embruns dans un ciel remué. Un vent de désir, qui ouvre la poitrine, fait respirer plus large.
J'en dansais sur le parvis en partant ce soir. Ananda ?
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