J'ai vu débouler les quatre cavaliers
dans ce champs de désolation et de ruine.
Je ne voyais plus le ciel ni les collines verdoyantes,
juste la détresse comme une hydre décharnée.
Et le souffle me manquait.
Aujourd'hui, je vois ce tableau là,
un peu loin, juste assez,
et reste perplexe.
Un changement rapide s'impose?
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