Dans la rosée, il y eut mon pied nu.
Frissonnante, jouir du grain de la terre, des brins d'herbe et de la corolle un peu gratouilleuse d'une pâquerette encore endormie.
Fermer les yeux pour mieux sentir l'air encore glacé. Silence ouaté plein de pépiements.
Rêver du chocolat et des tartines au chaud du poêle.
Du chat très impudent qui viendra réclamer encore.
Mais il est encore trop tôt.
Alors m'étirer, et courir me blottir sous la couette si douce, contre toi.
parfois je te suis,
RépondreSupprimerParfois je me perd
et parfois, comme aujourd'hui,
Je te retrouve...
C'est toujours magique.
Ravie de te retrouver.
RépondreSupprimerJ'aimerais bien qu'on se rencontre un vrai. je sais qu'un jour viendra.
je t'embrasse, chère Mema.
J'ai cru comprendre que tu étais sur la capital?
RépondreSupprimerJ'y monte 1 à 2 fois par an pour le boulot...
Sinon, ma maison est grande ouverte...
Oui, c'est ça. Fais-moi signe quand tu viendras !
RépondreSupprimerEt oui, je te ferai signe si je trouve du temps pour aller chez vous.
Bises