La tempête dehors. Dedans insomnie, mais c'est calme. Besoin d'un temps de décantation.
Si je prends du recul, j'ai le sentiment de me laisser emporter ces derniers jours sans grand discernement. Or, je pense qu'il faut jouer des deux aspects. Être solidement ancrée et bouger au rythme du vent.
Retrouver l'essence de ce qui me porte pour m'y référer au sein même de l'adaptation permanente.
Prendre soin de mes besoins.
Et depuis cette présence, ancrer ma relation au monde.
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