Ce matin j'ai compris quelque chose, et j'ai pris une décision. Celle ne plus laisser envahir aucune relation par la plainte, que ce soit celle de l'autre ou la mienne.
Voici un réveil bien agréable....annonceur de moments prometteurs ! J'aime..j'en veux et en reveux (sans modération), attention, je suis très sérieuse, aucune ironie de ma part !
Nicole, merci :-) Le mode d'emploi, et bien, c'est déjà d'observer ce qui se passe.Constater. Comment je suis dans la plainte, comment parfois je la suscite chez l'autre, ou permets a contrario qu'on en sorte. Ce qui marche, ce qui marche moins.
Ton billet me fait penser à un bouquin que j'ai lu il y a quelques années d'un psy très à la mode. J'allais très très mal. "Victime des autres, bourreau de soi-même". Ce livre m'a mis une douce "claque", de celles qui mettent en mouvement, qui portent vers autre chose que l'habitude de la jérémiade. En même temps, se plaindre permet aussi de faire le point sur ce qui ne fonctionne pas. Un équilibre à trouver, pour moi.
Nicole Non, il ne s'agit pas de boucher mes oreilles :-) Surement pas. Soit écouter vraiment et s'il y a une demande d'aide "faire mon job". Sinon prendre des dispositions pour ne pas rester déversoir à l'infini. Me respecter et le dire avec douceur et fermeté.
Nat : Ma référence c'est François Roustang : la fin de la plainte ;-)
On est bien d'accord Les plaignants je dirais que j'essaie de les "convertir" vers une autre façon de dire, de penser les choses, en étant actifs et non victimes, il y a toujours une marge même minime pour celui qui veux s'en saisir Avec le temps, celui qui ne s'en saisit pas et réitère sur le même mode " je sais tout sur tout mais tout me tombe dessus et je ne peux rien faire"...et bien, ils savent que je n'ai rien à leur dire, je souris, et je les laisse se déverser sur qqun d'autre qui accepte et cautionne ce mode d'exister. C'est un vrai travail d'en sortir, qui demande de l'accompagnement et bcp de volonté. La facilité est de penser que le ciel peut nous tomber sur la tête.
Voici un réveil bien agréable....annonceur de moments prometteurs !
RépondreSupprimerJ'aime..j'en veux et en reveux (sans modération), attention, je suis très sérieuse, aucune ironie de ma part !
Et... Où trouver le mode d'emploi ? ???
En toute amitié.Nicole
ça c'est dit !
RépondreSupprimeret pareil
atout et ratatou sans ouille
ah ah ah
des bises
Nicole,
RépondreSupprimermerci :-)
Le mode d'emploi, et bien, c'est déjà d'observer ce qui se passe.Constater.
Comment je suis dans la plainte, comment parfois je la suscite chez l'autre, ou permets a contrario qu'on en sorte. Ce qui marche, ce qui marche moins.
N-talo
racontes nous aussi, alors ;-)
bises
Merci Lise, dans ce sens là, je suis à peu près...et quand "la plainte" vient à toi ?? ??
RépondreSupprimerTu te sauves ? Tu te bouches ostensiblement les oreilles ?? Tu t'installes sous terre ???
il y a toujours le moyen de fermer les postes radios ou télé...mais celui, celle qui me parle..je dis "STOP" ?? ??
Ton billet me fait penser à un bouquin que j'ai lu il y a quelques années d'un psy très à la mode. J'allais très très mal. "Victime des autres, bourreau de soi-même".
RépondreSupprimerCe livre m'a mis une douce "claque", de celles qui mettent en mouvement, qui portent vers autre chose que l'habitude de la jérémiade.
En même temps, se plaindre permet aussi de faire le point sur ce qui ne fonctionne pas.
Un équilibre à trouver, pour moi.
Bonne journée.
Nicole
RépondreSupprimerNon, il ne s'agit pas de boucher mes oreilles :-) Surement pas.
Soit écouter vraiment et s'il y a une demande d'aide "faire mon job".
Sinon prendre des dispositions pour ne pas rester déversoir à l'infini. Me respecter et le dire avec douceur et fermeté.
Nat :
Ma référence c'est François Roustang : la fin de la plainte ;-)
Merci à tous deux pour cette conversation.
On est bien d'accord
RépondreSupprimerLes plaignants je dirais que j'essaie de les "convertir" vers une autre façon de dire, de penser les choses, en étant actifs et non victimes, il y a toujours une marge même minime pour celui qui veux s'en saisir
Avec le temps, celui qui ne s'en saisit pas et réitère sur le même mode " je sais tout sur tout mais tout me tombe dessus et je ne peux rien faire"...et bien, ils savent que je n'ai rien à leur dire, je souris, et je les laisse se déverser sur qqun d'autre qui accepte et cautionne ce mode d'exister. C'est un vrai travail d'en sortir, qui demande de l'accompagnement et bcp de volonté. La facilité est de penser que le ciel peut nous tomber sur la tête.
:-)
RépondreSupprimerC'est tout à fait ça.
Ne jamais se laisser transformer en poubelle ;-)
Bises !
Merci à vous tous...
RépondreSupprimerAssez(un peu...beaucoup...) agés, nous subissons la détresse(très réelle ) de très proches..etje sens combien nous sommes devenus vulnérables.
Nicole