7 jours à voir la mer venir et repartir, à observer le jeu des oiseaux dans ce printemps qui pointe, à marcher jusqu'à l'ivresse, à me régaler de toutes les nuances de ce qui peut paraître fade si on n'ouvre pas les yeux. Pas besoin de soleil pour voir la lumière du paysage.
Seule.
En lien.
A prendre soin de la vie en moi.
Moment inédit.
Qu'en dire...
Exercice nécessaire pour déposer quelques unes des couches de discours qui me séparent de ce que je vis.
Écouter le chagrin tel qu'il est sans plus le repousser quand il se manifeste.
Écouter la peur quand elle vient.
Écouter ce qui est joie au cœur, au corps.
Observer la trace de mes dépendances.
Accepter mon étrangeté.
Pleurer et sourire.
Tout est ici. Parfait.
;-))
RépondreSupprimerOh les flots..les flots....!! hmmmmm
PS et pis je fais grève des comm sur blogger qd il y a toutes ces lettres de M.....à recopier...voilà...c'est mon dernier mot( et dans "paramètres" il y a "masquer"....)
;-)
RépondreSupprimertu peux arrêter la grêve, j'ai désactivé le bidule !
la grêve...je me sens décidément encore à la mer !
RépondreSupprimerLise
"the cure for everything is saltwater: sweat, tears or the sea" (Karen Blixen). Je te suis en silence depuis plusieurs mois. De la nuance, de la complexité, tu es plurielle en effet. des pensées.
RépondreSupprimerChère mowglinomade,
RépondreSupprimermerci. je pensais à toi ces derniers temps, a ce que tu écrivais du carême il y a des années sur ton blog,et qui me parle, maintenant que je peux l'entendre. J'ai essayé de m'en inspirer un peu cette semaine. Simplifier pour garder l'essentiel, et l'offrir.
Donne de tes nouvelles, si bien sûr c'est juste pour toi.
des pensées pour toi