Une nouvelle séance pour travailler sur la carapace à l'intérieur, celle qui ne sert tout simplement à rien, sinon à faire mal pour de mauvaises raisons.
Toujours une histoire de support. S'affranchir de la béquille pour retrouver un vrai appui sur le sol, confortable et solide.
Torsion, sauterelle, et autres réjouissances sont au rendez-vous. Un sacré travail (je suis prête à le démontrer à tous ceux qui pensent que le yoga est trop mou pour eux ;-)
Alors, "la voie du guerrier", comme l'appelle Osho ? Peut-être, mais un guerrier sans guerre ;-)
Oui, mais après la sauterelle, tu peux t'abandonner dans la feuille pliée et celle là est tout à fait réjouissante ! Toutes les tensions se détendent.
RépondreSupprimerTu m'ouvres une piste avec l'idée d'une carapace intérieure, j'aurais plus l'image en ce qui me concerne d'un filet à mailles un peu lâches mais bien oppressantes quand même.
Merci Belle Sauterelle.
Vive la métaphore, c'est très fort ! (deuxième degré, car vraiment, ça fait slogan de foire ;-)
RépondreSupprimerBon voyage intérieur, Meerkat.
Bises