Deux jours pour "jouer", expérimenter, s'adapter à ce qui vient et l'explorer, puis décortiquer et affiner encore.
La relation comme support du changement, solide et légère comme un fil d'Ariane, nous rassemblant dans une communauté soudée chaque fois que nos propres peurs ne nous coupent pas des autres.
C'était beau jusque dans les erreurs et approximations, et si doux dans cette période tourmentée.
J'ai osé comme jamais, parfois le feu aux joues. Offrir ma confiance en ce qui peut advenir là, que j'accompagne ou vive cet abandon à ce qui fait mal.
Je ne veux et ne peux raconter autre chose que les petites choses, le chocolat partagé, les blagues et la complicité, les regards qui se croisent, et cette tendresse ambiante comme un baume bienfaisant.
J'ai pu entrevoir le chemin parcouru, et l'étendue qui s'offre à mes pas.
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