Il y a ce soulagement énorme sur ma charge de travail, depuis son arrivée. La peur que le trop finisse par avoir des conséquences sur ma santé reflue.
Du coup, je fléchis. Je me vois ces derniers jours tellement en demande vis à vis de mon entourage proche. Si je n'y prends garde, l'agacement ne peut que poindre devant ce comportement immature et insupportable,où je m'auto-critique sans cesse.
Plus qu'une chose à faire : me rouler en boule et pleurer dans mes propres bras. Suffisamment. Puis retrouver le silence et repartir joyeuse, lavée.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.