Je cherchais un moyen de le rejoindre dans cet espace de tristesse où je le sentais enfermé, ne trouvant rien, quand la pleine lune a accroché mon regard.
J'ai attrapé le téléphone, lui ai envoyé le début d'un vers, et il a repris la balle au bond.
Un sms après l'autre, se sont déroulées les images.
Et de ces mots en écho est né un poème, le sien, celui de ce qu'il vit en ce moment.
Et un sourire, au cœur même de la tristesse.
C'était assez fou à vivre. Si beau.
C'est le miracle poétique que tu décris là, le sourire au creux des contenus.
RépondreSupprimerPoser ce qui hante, c'est déjà un pas.La poésie comme support dans "le vide".
RépondreSupprimerLise