Le vent dehors, qui tourbillonne depuis plusieurs jours.
La tempête, à l'intérieur.
La vie secoue bien fort. Tous ces deuils sur tant de plans.
Tant de minuscules et gigantesques écroulements qu'il n'y a plus de certitude possible.
Difficulté extrême de trouver l’œil du cyclone.
Cadeau
de savoir que c'est la seule base stable d'un être humain et de n'avoir
d'autre choix que de la trouver, coûte que coûte...
Utiliser ce que je ressens dans la relation.
Discerner ce qui m'appartient, le distinguer de ce qui appartient à l'autre.
Sortir autant que possible de mes blessures et de mes illusions.
Ne pas me claquemurer dans ma peine, si m'étourdir dans ce qui ne serait rien.
Survivre,
traverser l'orage,
l'accepter autant qu'il est possible,
choisir la manière de vivre ce qui me touche.
Etre un peu douce pour moi.
Accepter mes erreurs et mes faiblesses.
Les aimer.
J'aime beaucoup tous ces repères que tu cites.
RépondreSupprimerCe sont de réels points d'appui.
Tu peux avoir confiance.
Mais c'est sûr, les traversées sont difficiles…
Je pense à toi.
S'adapter à l'instant
RépondreSupprimerinstant après instant
sans autre ambition.
C'est bien comme ça et ça suffit.
Demain sera toujours un autre jour
ou tout continuera de se jouer instant après instant..
Au milieu de la tempête, un peu de douceur pour toi-même, oui, c'est important. Ne t'oublie surtout pas
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