Sophie Quérin, Fleurs étiolées |
pourrissait dans mon cœur.
Je l'ai extraite aujourd'hui.
Sortilège fini.
La honte du désamour,
bue jusqu'à la lie,
n'a plus qu'à s'échapper vite, vite,
loin de mon courroux.
Je veux à nouveau, tête haute,
sourire de ma vie.
cette fleur est tenace, même déracinée prête à renaitre en cendres.
RépondreSupprimerIl faut un amour neuf, une fleur qui prendra place, un nouveau terreau au coeur tendre
Il y a de belles fleurs...d'amitié. Je vois comme un risque de me précipiter dans un amour neuf, avant que le deuil de cet amour-là soit vraiment fait. Trop d'exemples autour.
RépondreSupprimerBises, chère Laure. je te lis toujours avec un grand plaisir même si j'ai du mal à commenter en ce moment