Je l'ai vue hier me convaincre de faire un détour là où le chemin était tout tracé,
et puis entendue dans mon silence cette autre fois.
elle me rend folle et sage à la fois.
Alors je décide ce matin de la voir comme ces mauvaises herbes qui protègent et nourrissent ce qui est blessé, à nu.
Ma peur, je t'accueillerai dorénavant comme une amie douce.
Fais-m'en souvenir si je l'oublie quelque fois.
Recadrage paradoxal du matin
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