Sang : vie qui palpite, engendre, ou pas,
Coquelicot : fragile battement de cœur aimé
Lave : rage, aux reflets jaunes d'yeux de loups,
Pourpre : silence des profondeurs d'unité
Radis : qui croque, pique et pétille
Roche - pour le bleu qu'il amplifie encore.
Mon monde est rouge rêve
Art aborigène.Tommy Watson"Wipu Rockhole", 2005
Je remercie celle qui voit la vie en bleu !
Waou ! Lise tu m'épates, je ne t'aurais jamais imaginée dans le rouge volcanique. Quoi que ;-))
RépondreSupprimerQue ça fait du bien toute cette couleur.
Mais je te rappelle que c'est toi qui a commencé avec tes patch anti-grisaille.
Bizz cher coquelicot citadin :-)))
c'est la première fois je crois que je me sens dans le rouge. Ça m'a fait un bien fou ! Comme si la lave avait pu enfin jaillir au grand jour, et ne plus m'étouffer de ses cendres.
RépondreSupprimerDes usages thérapeutiques du blog ;-)
Depuis hier, l'homme intérieur s'invite avec moi dans le métro. Je l'ouvre au hasard, et médite le temps de quelques stations. Très apaisant !
Je t'embrasse, rose de plein champ !
Tu doutais des usages thérapeutiques du blog ;-))
RépondreSupprimerBien, belle écarlate, tu as raison de secouer les cendres, on en reçoit beaucoup trop ces derniers temps.
Je te souhaite une belle rencontre avec l'homme intérieur et m'en vais rejoindre un groupe très, très réduit ! Là, il semble que ce soit plutôt des avis de tempêtes intérieures ;-))
Beau week-end et des bizz des champs alors
Un monde rouge cerise, quel délice...
RépondreSupprimerTu attises la flamme en toi, c'est le feu intérieur libérateur qui monte ici ! ;-)
Demain, je posterai ma couleur, et c'est amusant, je perçois des affinités avec ton tout dernier patch anti-grisaille. :-)