Éclater les coquilles surannées, pour trouver de nouveau un espace de tous les possibles.
Au cœur la certitude que je ne sais pas, n'ai pas ,ne suis pas autre que ce qui se passe là, vraiment là.
Éprouver la peur des grands fonds et des hauteurs, et en rire, car pourquoi pleurer ce qui est, plutôt que le vivre pleinement, et faire ce qui est juste, ce que je sais faire, ce qui me comble de joie.
Chaque matin décider de passer la meilleure des journées, et voir s'accomplir ce petit miracle d'échapper au tournis ridicule et ressassant.
Recommencer demain, et toujours.
Jusqu'à ce que le pli soit pris de ne pas en prendre, autant que faire se peut.
Petite prière du soir
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