Je continue ma petite série des portraits-pour-rire-et-me-faire-du-bien.
Que ce soit clair, il ne s'agit que de jouer avec des relations qui grincent, du fait de mes représentations, pour les huiler !
Exposer mes jugements et a-priori, pour qu'ils se délitent au vent.
Une fois ces précautions prises (et elles sont d'importance !), je vais vous parler de la femme-épagneul.
Je l'aime bien, parce qu'elle est plutôt gentille.
Je l'apprécie, car elle est intelligente, s'intéresse "au fond" des dossiers.
Et en même temps, elle m'agace avec ses "ma pauvre " en permanence, et ses critiques acerbes sur tout le monde.
J'ai l'impression d'avoir 6 ans quand elle me regarde.
Elle se plaint, oui, elle se plaint.
Je la plains de se plaindre autant.
Et pourtant, même si elle en souffre au point de perdre le sourire, elle n'est pas prête à en sortir.
Mordiller, oui, faire "la belle", juste après, et japper.
Secouer les oreilles tristement en regardant de ses grands yeux quand elle prend un coup de pied de plus.
En espérant toujours une caresse du maître qui s'en fout .
Mais pas lâcher la laisse.
Je lui souhaite de découvrir que cette laisse n'existe pas.
Et en attendant, je n'ai pas l'intention de m'y attacher !
Ni de m'épuiser à essayer de la convaincre comme je l'ai tenté ces derniers mois!
"Chacun sa route
Chacun son chemin
Passe le message a ton voisin", comme dit Tonton David.
Que ce soit clair, il ne s'agit que de jouer avec des relations qui grincent, du fait de mes représentations, pour les huiler !
Exposer mes jugements et a-priori, pour qu'ils se délitent au vent.
Une fois ces précautions prises (et elles sont d'importance !), je vais vous parler de la femme-épagneul.
Je l'aime bien, parce qu'elle est plutôt gentille.
Je l'apprécie, car elle est intelligente, s'intéresse "au fond" des dossiers.
Et en même temps, elle m'agace avec ses "ma pauvre " en permanence, et ses critiques acerbes sur tout le monde.
J'ai l'impression d'avoir 6 ans quand elle me regarde.
Elle se plaint, oui, elle se plaint.
Je la plains de se plaindre autant.
Et pourtant, même si elle en souffre au point de perdre le sourire, elle n'est pas prête à en sortir.
Mordiller, oui, faire "la belle", juste après, et japper.
Secouer les oreilles tristement en regardant de ses grands yeux quand elle prend un coup de pied de plus.
En espérant toujours une caresse du maître qui s'en fout .
Mais pas lâcher la laisse.
Je lui souhaite de découvrir que cette laisse n'existe pas.
Et en attendant, je n'ai pas l'intention de m'y attacher !
Ni de m'épuiser à essayer de la convaincre comme je l'ai tenté ces derniers mois!
"Chacun sa route
Chacun son chemin
Passe le message a ton voisin", comme dit Tonton David.