Je l'ai sentie dans mon corps.
En dessous de la nuque.
Un sensation très spéciale, celle d'une force qui joue tout au long de la colonne.
Depuis j'ai l'image de l'oie sauvage de Nils Holgersson, celle qui est capable de voler des centaines de kilomètres par-dessus les nuages, et d'accomplir le périple qu'elle doit parcourir.
Depuis, je me suis vue faire des choses inconnues, improbables, comme si c'était facile.
J'espère ne pas oublier la sensation.
Sur mon tapis, le matin, je la cherche. Dans la journée aussi, dès que le doute m'effleure.
C'est si bon, la confiance.
En dessous de la nuque.
Un sensation très spéciale, celle d'une force qui joue tout au long de la colonne.
Depuis j'ai l'image de l'oie sauvage de Nils Holgersson, celle qui est capable de voler des centaines de kilomètres par-dessus les nuages, et d'accomplir le périple qu'elle doit parcourir.
Depuis, je me suis vue faire des choses inconnues, improbables, comme si c'était facile.
J'espère ne pas oublier la sensation.
Sur mon tapis, le matin, je la cherche. Dans la journée aussi, dès que le doute m'effleure.
C'est si bon, la confiance.
Belles envolées à toi. C'est réjouissant. :-))
RépondreSupprimerDu voyage de Nils Holgersson lu il y a bien longtemps, je me souviens moins du voyage que de cette amitié qui peu à peu liait l'insupportable gamin à l'oie, le transformait, de la confiance qui les unissait et qui leur permettait d'accomplir ensemble cette grande épopée. J'en avais été, enfant, très émue.
Peut-être qu'une oie veille à côté de toi et accompagne ton évolution ! ;-))