24 mai 2011

Voilà

Hier, avec deux jours d'avance, j'ai fait ce que j'avais à faire.
Dans un curieux coton, incapable de maîtriser mon discours. 
Mais curieusement de plus en plus à l'aise face à cet homme qui, très probablement , ne me choisira pas. Sauf s'il ne trouve pas mieux.
Bon, et bien, pas grave, tout ça. 
J'en ressors les idées claires sur ce qu'il y a à faire bouger, bien plus claire qu'après un an de bavardages et fatras émotionnels. Comme quoi le management ne s'accommode pas de sentimentalisme mal placé...
Si les prochains mois s'annoncent plus que chargés, je me sens vraiment libérée d'un poids sur les épaules, de l'étouffement que j'ai ressenti si souvent.

Et s'il ne me choisit pas, ce sera probablement une très bonne chose pour moi.

La douceur collante des toiles d'araignées de mon cerveau m'a probablement retenue de faire une bêtise, de jeter ce fragile équilibre d'aujourd'hui qui me permet de retrouver mon souffle, même quand je cours un marathon à l'allure d'un sprint...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.