Deux voix en simultané.
Celle qui chante l'ouverture à nouveau du champ de vision, ce grand bleu, grand soleil, grand vent.
Ouverture des yeux, des oreilles, des pores de la peau.
Ouverture du coeur.
Et celle qui pleure.
Restriction, deuil, destruction.
Manque. Faim sans faim.
Ventre comme un poing serré.
Larmes retenues et qui brûlent les yeux de l'intérieur.
Aujourd'hui, dans un cadre adapté, je vais tâcher d'ouvrir les vannes. Car cela me pompe une énergie fabuleuse que de retenir ce qui veut sortir. Ça devient urgent.
Il faut bien "évacuer les gravats".
Oui, ça consume une énergie considérable...
RépondreSupprimerUn cadre adapté, je comprends, un cadre bienvieillant.
Je te trouve courageuse.
Belle soirée.
Merci Nat. Je vois qu'une fois de plus je veux tout porter. Lâcher du lest, me repositionner, est indispensable.
RépondreSupprimerJe ressens déjà un peu moins de tensions, la respiration coule mieux.
Le discernement sera de mise...
Pourquoi être pudique avec soi même ? Pour ma part je ne le suis pas. Je suis folle quand folle, j'ai deux ans quand deux ans, je suis effondrée de larmes et sanglots quand larmes et sanglots.
RépondreSupprimerGo, go , go....
les enfants qui ne le savent pas encore...nous avons décidé de le leur dire ensemble.
Supprimerje comprends. Ce sera un soulagement alors, malgré tout.
SupprimerIl faut que l'eau coule ... Bon courage.
RépondreSupprimerles larmes commencent à couler par moment. Une bénédiction.
SupprimerMerci :-)