20 juillet 2011

Epluchage

D’un jour sur l’autre, les pluches de fatigue durcissent et tombent.

Dans un premier temps les tensions s’exacerbent, dans des moments de stress intense, parfois avec des coups de blues en dépit du grand bonheur calme de ce début de vacances. 
Puis un arrêt, un soupir, et je peux passer à autre chose.

Hier après-midi, comme un grand sanglot coincé, pour un sujet vague et flou.
Au réveil, le problème est apparu clairement, et deux solutions se sont proposées.

Reste à dormir assez. Je pense que cela sera plus long.

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