Hier au déjeuner
"Je cherche à repousser mes limites en permanence" dit-elle, après m'avoir décrit son burn out des derniers mois. Comment elle s'est sentie grillée de l'intérieur. La désintoxication progressive au blackberry.
C'est alors qu'est apparue ma propre image de mes limites. C'est comme un espace au sol, l'espace de mes possibles, avec lequel je ne peux transiger sans risques. Pas des murs, mais une sensation que ce n'est pas bon pour moi si je vais plus loin, une sensation électrique désagréable qui fait frissonner brusquement.
Par compte, à l'intérieur de cet espace, j'ai toute latitude pour me développer juqu'au ciel, sans limites.
Je me suis sentie libre d'un coup. C'était bon.
Mais moi je n'ai pas de ciel, s'écrit-elle !
Finalement, les siennes sont devenues des tentures qui disparaissent si elles sont "fausses", des murs solides sinon.
Je ne veux plus jouer à être une autre.
40, c'est ça ?
Jusqu'au ciel et en même temps, très loin jusqu'au centre de la terre, sinon on risque de s'envoler .... A moins que ça, ce soit 50 ;-))
RépondreSupprimerBizzz chère Lise ! et du samedi encore bien
Bel bel anniversaire ! Le meilleur est à venir, ton ciel est immense et tes ailes grandes ouvertes. Et des vies à toi il y en a plein à vivre.
RépondreSupprimerDes bises et des pensées.
Claudine
RépondreSupprimerma copine n'était peut-être pas prête à ça. Moi j'adore plonger !Mais j'aime l'idée d'un complément d'équipement qui s'ouvre progressivement ( je crois que je suis contaminée par les jeux video de mes fils , hum hum)
Lynxxe
Merci merci :-) des vies à vivre, à inventer,à partager.
Je vous embrasse toutes deux :-)