Encore un week-end de travail intense. Je me prête au jeu aussi souvent que possible, tant de surprises sont au rendez-vous à chaque fois, de celles qui changent le vie en profondeur, de celles qui me donnent des pistes pour accompagner avec plus d'acuité et de justesse.
Ce matin, j'ai découvert en flexion avant que je n'avais pas confiance dans mon support, que c'était comme un plancher de verre avec l'abîme en dessous. Nausée instantanée qui m'a poursuivie de longues heures, même si j'ai tenté de substituer au vide du sable doux aux pieds.
Mais elle m'a donné l'opportunité de retrouver mon support ce soir. Le héros, avec un grand écart de jambe y a suffi en à peine quelques secondes. Renaissance instantanée de la confiance.
En écho à "il suffit d'un geste"" de François Roustang, que je relis avec un bonheur intense ces derniers jours. Une interview ici
Miam, un bien beau texte !
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