Ces deux dernières semaines ont été tellement intenses, avec des moments si exceptionnels, que je ne sais par où commencer.
Hier, ce candidat que j'ai reçu alors que je n'ai plus de poste à pourvoir, et qui s'est révélé quelqu'un de tellement différent. Ses dons affleuraient dans son cv, sans qu'aucun indice puisse me donner une piste concrète. Alors j'ai posé la question, quand la communication a été pleinement établie, au point que j'aurais pu finir ses phrases ou les deviner. Nous sommes passés à d'autres niveaux de communication. Bien au-delà d'un échange de pratiques entre thérapeutes, une sorte de reconnaissance réciproque au-delà du langage et d'un lien affectif. Nous sommes de la même famille.
Pour conclure, nous sommes revenus dans l'entreprise, afin d'évoquer les pistes pour rester lui-même en s'exposant moins à la rancœur de ceux qui ont perdu cette lumière qui l'habite incroyablement, rester lui-même aussi dans la manière d'utiliser son énergie ici ou ailleurs. Pouvoir transmettre ce que j'ai appris à ce niveau-là donne du sens aux difficultés que j'ai vécues ( voir ici et là). Car cette violence que l'on reçoit en pleine face, c'est la violence que l'on envoie sans y prendre garde à revendiquer la joie.(Les yoga sutra nous disent que quand on est dans la non violence, la violence se délite)
J'ai passé son cv à un homme très exceptionnel aussi, assez pour l'accepter tel qu'il est, et prendre soin de ses talents. A suivre.
Bien contente pour toi que ces jours de silence bloguesque aient été intenses !
RépondreSupprimerJ'aimerai bien un jour expérimenter le délitement de la violence... cela me semble tellement inacessible.
Je n'y suis pas non plus.
RépondreSupprimerMais je me coule un peu plus dans ce qui est, et du coup c'est moins dur quand même.
Une transmission de lumière... Merveille de la rencontre ! Douce nuit. brigitte
RépondreSupprimerMerci Brigitte :-)
RépondreSupprimer