Il y a ceux qui me mettent devant les pourquoi. Ça me gave. Condescendance en prime, ça m'horripile.
J'étais inquiet pour toi, m'a-t-il dit hier.
Je crois que je ne sais pas bien. C'est ce qui a fait mon blues de reprise. Et là, l'excitation revient. Pas bon du tout, comme indicateur. Les pensées, les nuits écourtées, le travail à n'importe quelle heure, n'importe où.
N'importe quoi, surtout !
Prends soin de ta vie, me souffle ma petite voix. Car sinon, avec ta passion, ça va reprendre toute la place, tu n'as pas ce pouvoir, pas cette force, à toi toute seule.
Accepte ton impuissance pour trouver ta juste place.
Prouve que tu peux le faire pour toi, déjà.
Ce n'est pas égoïste d'être exemplaire. C'est sain. Et bon.
Si le système est malade, ne devient pas malade pour le sauver, essaie à ta mesure et sache renoncer au bon moment.
Si le système est malade, ne devient pas malade pour le sauver, essaie à ta mesure et sache renoncer au bon moment.
L'écrire ici pour prendre cet engagement envers ma vie, devant témoin.
J'aime bien cet "engagement" !
RépondreSupprimerAttention, te voici sous surveillance ! ... ;-))
Ta dam tadam !!
RépondreSupprimerMais le 16 à la fête du motu tu t'es bien retrouvée et ressourcée
je raconterai bientôt
Ta Dam Tadam ! Bon courage en douceur
AlainX :
RépondreSupprimerMais j'espère bien ! ;-))
Laure :
Je suis impatiente. Je crois que celle-là, je l'ai paumée ( l'adresse).
Merci pour vos encouragements. Sacré challenge de sortir de tant d'années de "mauvaises habitudes pour de très bonnes raisons".
Impossible de perdre l'adresse du motu, il n'est sur aucune carte !
RépondreSupprimeret j'y vis pour toujours